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Reconversion : Fanny sophrologue

Le métier de mes rêves, Pause Café

Fanny est une super-héroïne avec une force de caractère, un optimisme et une capacité de résilience comme on n’en croise pas si souvent ! Après des études dans la com’, quelques mois en Australie et un CDI à Paris en tant que « chargée de communication tourisme », Fanny tombe malade. On lui détecte une ostéonécrose. Cet événement dur à encaisser, elle en fait sa force : Fanny commence à s’intéresser aux médecines douces, dans le but d’aller mieux. Et devinez quoi : ça marche !

C’est décidé, Fanny entame une reconversion en sophrologie. Après avoir obtenu son diplôme (certifié RNCP) à l’IFS (l’Institut de Formation à la Sophrologie), elle consolide sa formation et sa culture avec le MOOC Sciences du Bonheur dispensée en ligne par l’Université de Berkeley. Je ne vous en raconte pas plus dans cette intro, mais spoiler alert : Fanny a trouvé sa vocation dans le métier de sophrologue ! Article à dévorer pour toutes les personnes en quête d’un métier avec du sens !

J’ai commencé à prendre conscience que le bonheur, c’est maintenant

De communicante dans le tourisme à thérapeute du bonheur, raconte-nous ton parcours :

Je suis devenue communicante après quelques années à travailler dans le milieu de la vente, notamment dans le domaine bancaire. Je ne m’y épanouissais pas donc j’ai repris un cursus à l’université, entre Bordeaux et Lille, où je suis allée jusqu’au Master. Après avoir obtenu mon diplôme, je me suis offert 8 mois à vadrouiller en Australie… et ensuite 8 mois de chômage à squatter chez mes parents en revenant. J’ai fini par trouver un CDD puis un CDI sur Paris, en tant que chargée de communication dans le secteur du tourisme. Après 2 ans et demi d’activité, j’ai fini par négocier un poste en télétravail sur Bordeaux (la ville de de mes études) car je n’apprécie pas du tout la vie dans la capitale.

A Paris, j’avais déjà commencé à avoir une santé qui se dégrade. J’ai fini par découvrir que j’avais une maladie des os, appelée ostéonécrose, diagnostiquée au niveau des hanches. J’ai donc été en arrêt de travail un long moment et j’ai découvert un nouvel univers autour des médecines douces grâce à plusieurs amies, notamment ma kiné qui pratique l’hypnothérapie. Un monde s’est ouvert à moi, d’autant plus que ces méthodes se sont avérées très efficaces sur ma santé, aussi bien pour guérir mon corps que pour renforcer mon mental.

 

Quand j’étais plus jeune, j’avais une forte tendance à la déprime et au négativisme. Dans ma famille, on est malheureusement assez sujet aux dépressions. J’ai vécu plusieurs moments difficiles ces dernières années dont la perte de ma maman et le diagnostic de ma maladie.
Bizarrement, en vivant ces moments difficiles, mon esprit a « switché » et je suis devenue de plus en plus optimiste. J’ai commencé à prendre conscience que le bonheur, c’est maintenant, qu’il fallait profiter de ce que la vie nous offre car on ne sait pas si on pourra toujours le faire et dans quelles conditions. C’est comme si la vie m’avait offert 2 choix : celle de me rouler en boule dans un coin en pleurant et en me lamentant sur mon sort ou de transformer ma colère et ma tristesse en une force moteur pour vivre ma vie pleinement.

Cette prise de conscience m’a donné envie de creuser le sujet, de comprendre quelles sont les méthodes et apprentissages qui aident à tendre vers le bonheur. C’est comme ça que je suis me suis tournée vers la sophrologie et que je me suis formée aux Sciences du Bonheur. Et je vais creuser encore plus loin puisque je vais débuter une formation d’hypnothérapeute très bientôt.

Je suis fascinée par toutes ces techniques qui permettent de nous « reprogrammer » en quelque sorte pour dépasser nos peurs et nos blocages et tendre vers la vie que l’on souhaite vraiment avoir. Ce sont vraiment des outils qui m’ont élevé et m’ont fait devenir une autre personne, plus réfléchie, plus consciente. Et qui m’ont aidé à gérer des situations compliquées ou douloureuses.

Mon objectif à présent est de mettre ces outils à disposition de tous.

Tu as fait le choix de quitter un travail plutôt sûr, que tu pouvais exercer en tant que salariée, pour une activité d’indépendante. Pourquoi ce saut dans le vide ?

Je n’ai pas encore plongé dans le grand bain, je m’accroche encore un peu au bord. J’ai eu la chance de pouvoir garder mon emploi dans la communication à temps partiel. Je me sers donc de mon temps libre pour prendre soin de moi et de ma santé, tester et développer les techniques que j’apprends et les proposer à mes clients. J’ai d’ailleurs ouvert un cabinet depuis peu où, un jour par semaine, je reçois les personnes voulant faire de la sophrologie à mes côtés. C’est une vraie opportunité car je peux commencer à lancer mon activité de thérapeute sans craindre les difficultés financières de tout début d’activité indépendante. Pour être honnête, c’est aussi un frein car je reste un peu dans ma zone de confort. Mais j’y travaille ! 😀

Concernant mon changement de direction professionnelle, il vient surtout du fait que j’ai envie de me sentir utile dans ce que je fais au quotidien. Je suis sensible à l’humain en général, et donc à toutes les problématiques thérapeutiques et sociales mais aussi à l’écologie, le respect de la vie, la non-violence en général. Mon souhait est donc d’avoir un métier en lien avec ces valeurs.

J’aime la communication (et d’ailleurs j’adore créer des supports et réfléchir à comment véhiculer mes messages) et cet aspect de mes compétences fera toujours partie de moi mais je suis lassée du côté commercial/marketing. J’ai besoin de créer plus de sens, d’avoir plus d’interactions sociales en direct avec les gens, de partager mes expériences, mon ressenti, mes apprentissages. Je pense que si chacun travaillait sur ses failles en les comprenant et en les intégrant, le monde tournerait beaucoup mieux. J’ai envie de contribuer à ce monde bienveillant et positif. Avoir un rôle à jouer et contribuer à notre société, c’est important mais aimer son travail (salarié ou pas d’ailleurs) l’est encore plus. On y passe quand même la majorité de nos journées !

Dans une autre mesure, je pense aussi que le salariat ne me correspond plus. Se référer à des supérieurs, être tributaire de leurs visions et décisions, devoir rentrer dans le moule, ça va à l’encontre de qui je suis. Je suis un peu électron libre, j’aime avoir une semaine où pas un jour ne se ressemble, tester, prendre mes propres décisions, mener ma barque quoi.

Je suis fascinée par toutes ces techniques qui permettent de nous « reprogrammer »

J’ai besoin de créer plus de sens, d’avoir plus d’interactions sociales en direct avec les gens

Quels sont les éléments clés qui t’ont poussé à te lancer ?

Comme je l’ai dit plus haut, ce sont mes problèmes de santé qui m’y ont largement poussé car je voulais trouver d’autres solutions que les médicaments anti-douleurs pour me soulager (et éviter de ressemble à un zombie 24h/24).

Mais mon premier contact avec la spiritualité et la recherche du bonheur s’est fait quand j’ai perdu ma maman suite à un vilain cancer. Mon monde a basculé en 4 mois, j’ai découvert une « vraie raison » d’être triste et la douleur de l’absence d’une personne que j’aimais le plus. J’ai voulu la rendre fière et je me suis aussi intéressée à qui elle était : une personne simple qui savait être heureuse grâce aux petites choses du quotidien. J’ai donc décidé d’appliquer un peu plus cette philosophie dans ma vie et ça fonctionne. Quand je suis frustrée ou triste, j’évalue les choses de ma vie pour lesquelles je peux être reconnaissante, là tout de suite, et je les note dans un carnet. Croyez-moi, ça fonctionne bien !

J’ai aussi dû faire face à mon deuil. J’en ai vécu toutes les étapes (notamment le déni qui a duré plusieurs mois) et j’apprends toujours à vivre avec cette perte. La société ne nous prépare pas à faire face à la mort, c’est un sujet tabou. J’étais surprise que la majorité des gens en face de moi s’attendent à ce que je passe à autre chose rapidement et/ou soient lassés que j’exprime ma tristesse. J’ai donc créé un mur et je me suis sentie très seule et incomprise et j’ai commencé à rechercher des façons de gérer ce deuil pour éviter que ça ne vienne définir ma vie.

J’ai ensuite fait la rencontre de mon amie qui travaille sur les énergies, avec qui j’ai parlé pendant des heures de toutes les pratiques thérapeutiques et spirituelles qui peuvent exister. Elle m’a conseillé des livres, des pratiques audios. J’ai commencé à méditer et même à faire de l’auto-hypnose sans le savoir. Grâce à elle, j’ai mis un pied dans mon nouveau métier.

La vie étant faite de synchronicités, quand je suis tombée malade, le médecin remplaçant de mon généraliste m’a recommandé une kiné à domicile qui n’exerçait pas dans ma zone d’habitation. On s’est quand même rencontrées et ça a été le début de mon initiation à l’hypnose et ses bienfaits. J’ai pu constater que ça m’aidait à gérer les douleurs mais aussi à ne plus me positionner en victime de mes problèmes de santé. Aujourd’hui, je suis fière de dire que cette personne est devenue ma collègue et une de mes plus proches amies.

J’ai continué à faire un long travail sur moi-même, avec elle mais aussi d’autres thérapeutes. J’ai aussi renoué plus régulièrement avec le yoga, qui est devenu un appui très important pour aider mon corps à aller dans la bonne direction.

La vie est un long processus de travail sur soi

5 ans après le diagnostic et 4 ans après une auto-greffe de moelle, je suis fière de faire un pied de nez à la maladie et de prendre ma revanche sur le médecin qui m’a conseillé d’avoir une vie la plus sédentaire possible. Au contraire, je marche, je nage, je fais du yoga, du paddle, je suis à l’écoute de mon corps, de mon mental, j’apprends aussi à me reposer quand j’en ai besoin. Je ne prends presque plus aucun anti-douleurs et quand j’ai mal, j’essaye de trouver une solution naturelle avant toute chose (ma bouillote est ma meilleure amie ^^). Bien sûr, il y a des jours sans, où je prends de la codéine, où j’en ai marre de ne pas pouvoir être en plein forme 100% du temps mais j’apprends aussi à accepter ces jours-là, sans jugements.

La vie est un long processus de travail sur soi et à travers toutes mes expériences, aussi bien positives que négatives, je pense que j’ai désormais un rôle à jouer pour aider d’autres personnes à s’entourer de solutions pour aller mieux et ainsi développer leurs talents et leurs potentiels.

Parle-nous de ta formation en sophrologie. Est-ce que tu continues à te former aujourd’hui ?

Je me suis formée à l’Institut de Formation à la Sophrologie de Catherine Alliota. C’est une formation de plusieurs mois en présentiel, avec beaucoup de travail personnel à côté. J’ai choisi cette formation car c’est une des seules à délivrer un diplôme certifié RNCP, c’est-à-dire dont le contenu a été validé et reconnu par le Ministère du Travail. C’était important pour moi car il n’y a pas de règles établies lorsqu’on devient thérapeute dans le domaine du bien-être. Je me devais donc de prouver le sérieux de ma démarche à travers le choix de ma formation. L’IFS forme au métier de sophrologue, aux connaissances à avoir et à la posture thérapeutique à adopter. Je pense qu’il faut déjà avoir entamé un travail sur soi avant de suivre ce genre de formation pour pouvoir comprendre et intégrer le contenu théorique.

Après cette formation, j’ai suivi pendant 2 mois un apprentissage en Sciences du Bonheur dispensée en ligne par l’Université de Berkeley. C’était très dense mais extrêmement instructif. J’y ai appris beaucoup de choses sur la psychologie positive et les recherches scientifiques sur le bonheur et j’ai pu comprendre et appliquer pas mal d’exercices pour « booster » son niveau de bonheur au quotidien, exercices que je propose bien sûr à mes clients si besoin.

Lorsqu’on travaille dans le domaine du bien-être, on se forme constamment, ne serait-ce parce qu’on est passionné le sujet et que l’on cherche de nouvelles clés pour soi-même. J’ai la chance de vivre à Bordeaux où il y a un choix énorme d’ateliers/stages/conférences/cours tout au long de l’année. Je participe donc régulièrement à ce genre d’événements.

J’entame également une formation d’hypnothérapeute à la fin du mois jusque début juin pour pouvoir proposer cette approche thérapeutique qui m’a tant apporté. J’ai choisi de suivre un cursus en hypnose humaniste pour pouvoir aider chaque personne dans la globalité de son vécu à travers la thérapie symbolique : cela permet d’aider l’inconscient à lever les blocages à l’aide de symboles, ce qui évite à la personne de revivre des événements désagréables voire traumatiques. Une thérapie tout en douceur. 😊

Aujourd’hui, à quoi ressemble ton quotidien ?

La première partie de ma semaine est dédié à la sophrologie.
J’organise mon agenda selon mes rendez-vous, je prépare les protocoles de mes clients, je réponds aux mails, je réfléchis à des idées pour développer mon cabinet et le faire connaître, j’anime mon compte Facebook et Instagram, etc…
Je profite aussi de ce temps pour tester de nouveaux outils, des méditations, des exercices d’auto-hypnose, pour lire des livres de développement personnel, etc…

Lorsqu’on travaille dans le domaine du bien-être, on se forme constamment

La seconde partie de la semaine est consacrée à mon emploi salarié.

Le week-end, tout se mélange un peu. En général, j’en profite pour faire le plein de sommeil, je finalise parfois des choses que je n’ai pas eu le temps de faire en début de semaine, je continue à brainstormer sur mes idées pour développer mon entreprise. J’en profite aussi pour faire des pauses, profiter de mes proches, prendre soin de moi, cuisiner…

Au fil de ma semaine, je dissémine aussi des moments où je travaille sur ma santé. J’essaye de faire 30mn d’activité physique par jour et je me force à aller marcher car être trop longtemps assise a un impact très important sur mes douleurs de hanches.

Je me force à prendre des « pauses écran » en privilégiant des activités qui n’en nécessitent pas (et force est de constater qu’il n’y en a pas tant que ça finalement) : j’utilise la musique comme bonne excuse. Je pratique le chant et j’apprends le ukulélé donc c’est un bon moyen de reconnexion à moi et à ma créativité.

Je ne suis pas une personne parfaite, qui boit uniquement du thé vert, qui fait 2 heures de méditation chaque jour

Y a-t-il des difficultés dans ce métier, que tu n’avais pas identifié avant de commencer à exercer ?

La première difficulté que j’avais identifié mais dont je n’avais pas mesuré l’impact réel, c’est la difficulté à se faire connaître. Il faut être patient, utiliser tous les outils à sa disposition et miser sur le bouche-à-oreille. Au départ, je ne parlais pas forcément de mon métier, maintenant, j’en parle dès que l’occasion se présente, j’explique ce que je fais, pourquoi, je donne ma carte de visite, etc. C’est le 1er vecteur qui fera qu’on parle de nous et une personne ira plus facilement voir un sophrologue qui lui a été recommandé par un proche.

La seconde difficulté, c’est ne pas être trop dans l’affect. Quand certaines personnes ont des situations ou des histoires difficiles, il faut savoir prendre du recul pour garder sa posture d’aidant et ne pas oublier que c’est cette personne qui possède sa propre clé pour aller mieux. Je ne suis que le guide vers cette clé, en aucun cas je ne « sauve » les gens. Il est nécessaire de responsabiliser les gens qui viennent me voir pour qu’ils soient acteur de leur thérapie, c’est de cette façon qu’elle pourra être efficace.

La troisième difficulté, mais que j’avais déjà identifié, c’est savoir s’adapter tout en sachant dire « non ». Respecter l’organisation de son planning pour éviter de s’éparpiller. Insister pour que les clients comprennent que l’investissement personnel est primordial pour ressentir les effets de la sophrologie. Ne pas se surcharger de rendez-vous au détriment de son propre bien-être.

Qu’est ce que tu adores par dessus tout dans le métier de sophrologue ?

Observer les gens changer. Je trouve toujours ça magique. Observer leur visage se détendre au son de ma voix, les voir apprendre à se détendre, à se reconnecter avec leurs sensations, prendre conscience de leurs émotions. Avoir leur retour enjoué sur des exercices qu’ils utilisent régulièrement quand ils ont besoin de souffler. C’est un vrai plaisir de se rendre compte qu’on a un impact positif au travers de chaque personne qu’on va aider. J’adore ça !

C’est aussi convaincre les sceptiques qui ne savent pas vraiment à quoi s’attendre et les emmener avec moi dans un endroit où ils se sentent parfaitement bien, les voir ouvrir les yeux et être surpris par ce qu’ils ont réussi à vivre. Magique je vous dis !

Y a-t-il un « cliché du métier de sophrologue » que tu aimerais soulever ?

Je ne suis pas une personne parfaite, qui boit uniquement du thé vert, qui fait 2 heures de méditation chaque jour et qui n’a jamais un mot plus haut que l’autre.
Le sophrologue a aussi ses jours sans, ses fragilités, ses incohérences et c’est grâce à ça qu’il est le thérapeute qu’il est. Il connait les moments difficiles et il utilise ses propres outils pour dépasser cet état et c’est de cette façon qu’il est en mesure de vous les proposer.

On ne peut pas être un bon thérapeute si on ne se connait pas

Tes 3 conseils en or pour les personnes qui souhaitent se lancer dans une carrière autour du bien-être et du soin ?

  1. Faire un travail sur soi au préalable et savoir se remettre en question. On ne peut pas être un bon thérapeute si on ne se connait pas et si on n’a pas réglé certaines choses. Ce travail durera toute votre vie et il est nécessaire pour avoir la posture adéquate pour aider les autres.
  2. Choisir une formation solide, acquérir des connaissances, échanger avec d’autres thérapeutes, participer à des conférences (pas forcément uniquement dans votre domaine). Ce travail est nécessaire pour pouvoir savoir de quoi on parle et s’éloigner du charlatanisme dont pâtissent souvent les professions liées au bien-être et au développement personnel. C’est aussi un moyen d’être à l’aise dans votre rôle de thérapeute.
  3. Pratiquer ! Pas forcément tous les exercices mais il faut pratiquer pour pouvoir avoir son propre retour d’expérience. Par exemple, quand je suis énervée, je fais avec plaisir l’exercice du polichinelle qui consiste à sauter sur place : c’est très efficace pour me détendre. En sophrologie, on effectue certains exercices en même temps que le patient pour être connecté à ses potentiels ressentis. Idem dans nos pratiques personnelles, le fait d’appliquer nos propres théories permet d’en comprendre les tenants et les aboutissants.

J’ai une très belle vision de ce que j’ai envie de faire

Quelles sont tes envies pour demain ?

J’ai une très belle vision de ce que j’ai envie de faire.
Développer mon cabinet et rencontrer toutes ces belles personnes que je pourrais aider dans leur chemin de vie. Je suis en train de mettre en place des ateliers thématiques pour pouvoir aborder des thèmes particuliers en petits groupes comme la créativité, la santé, le sommeil, etc.
J’aimerais aussi mettre en place des programmes en ligne et/ou des livres pour rendre la sophrologie et l’hypnose accessibles à un plus grand public.
Je me sens connectée à un grand projet donc pourquoi pas animer des conférences, parler de mon expérience personnelle, de mon approche thérapeutique.
Et à terme, me concentrer professionnellement uniquement sur mon métier de thérapeute.

J’aimerais aussi m’accorder du temps pour développer des projets autour de mes activités créatives et artistiques comme le chant et l’écriture.

On te retrouve où ? On te contacte comment ?

Vous retrouverez toutes les informations nécessaires pour me contacter sur mon site Internet
Le plus simple est de me contacter par téléphone si vous souhaitez discuter de vos besoins et prendre un rendez-vous (si tu veux/peux mettre le n° : 07.86.12.38.52)

Commentaires

2 Commentaires

  1. Boudena

    Bonjour,

    Merci pour ton partage intéressant de ta reconversion.

    Je suis infirmière en milieu hospitalier et sophrologue depuis peu.
    Je veux faire connaitre ce magnifique métier de sophrologue auprès du personnel soignants et autres qui souffrent de différents maux…
    Je dois présenter un projet à ma direction.

    Peux tu m’aider à me projeter et surtout à les convaincre que je suis un maillon indispensable pour le bien être de tous.

    Belle journée
    Merci Fanny

    Réponse
  2. Venot

    Bonjour, Fanny je suis ATSEM et je pratique la relaxation aux enfants je veux être reconnu professionnellement dans le domaine sophrologie. Peux-tu m’aider à convaincre mon employeur qui est le maire dans la fonction publique territoriale, à accepter ma formation et le financement car il le faut des jours de disponibilité pour suivre la formation. Par avance merci pour ton soutien et bravo pour ton parcours. Bien à toi cordialement Katia

    Réponse

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